Ceux qui font partie de la génération Y (aussi appelée les milléniaux, ou millenials, en anglais) sont les personnes nées entre le début des années 1980 et le milieu des années 1990. Et ces milléniaux veulent tout. Et franchement, peut-on leur en vouloir ? Une vie pro épanouie mais pas chronophage, des soirées qui claquent, des restos sympas, un coût de la vie qui ne te fait pas vendre ton rein gauche et surtout, un environnement qui respecte un minimum leurs valeurs. Le dernier rapport de Compare the Market AU l’a bien compris et a dégainé le classement ultime des villes où il fait bon bosser et vivre quand on est né entre deux tubes de Britney Spears.
Surprise ou confirmation, Lyon sort ses muscles et se hisse à la 8e place mondiale, juste derrière Zurich et Milan, mais devant des métropoles pourtant très bankables comme Berlin ou Barcelone. La recette lyonnaise ? Un cocktail bien dosé entre vie nocturne animée, bars à tomber, restos qui font saliver, bonne accessibilité financière (même si les loyers grimpent, on n’est pas à Paris non plus), et cette vibe à mi-chemin entre l’effervescence urbaine et le chill provincial.
L'Europe domine largement le classement mondial
Le classement, basé sur 16 critères allant de l’inclusivité à l’accès aux services en passant par la qualité des loisirs, couronne Amsterdam (logique), Stockholm (évidemment) et Prague (surprise !) sur le podium. Toronto sauve l’honneur des villes non-européennes en grattant une 10e place méritée, avec un score parfait en égalité et inclusion LGBTQ+.
En somme, si tu rêves de bâtir une carrière sans sacrifier ta santé mentale, de bruncher le dimanche après une techno au Sucre ou de trouver un taf sans devoir vendre ton âme (ou ton scooter), Lyon coche toutes les cases. Et si t’es déjà là ? T’as bien fait de rester.